Champ de blé - Ferme CollayChamp de blé - Ferme Collay
©Champ de blé - Ferme Collay|Jonathan Bondu
Mettre en valeurl'agriculture française

Ferme Collay

La famille Collay est présente sur cette ferme de Magny-les-Hameaux depuis 3 générations. Depuis 2019, la ferme est exploitée par Maxime Collay en grandes cultures, principalement des céréales.

Jonathan Bondu portrait - Ferme CollayJonathan Bondu portrait - Ferme Collay
©Jonathan Bondu portrait - Ferme Collay
Maxime Collay

Maxime a grandi dans la ferme familiale à Magny-les-Hameaux. Il a fait un bac professionnel agricole, puis un BTS ACSE (Analyse et Conduite des Systèmes d'Exploitation) en alternance. Il a travaillé durant 4 mois sur la ferme avec son père avant d'en reprendre l'exploitation à sa charge en janvier 2019.

La ferme

En un coup d'oeil

5 bis rue Paul Jeanne Weiss

78 114 Magny-les-Hameaux

Avec le bus 464 arrêt « Buloyer », puis 6 minutes de marche

Vente à la ferme

Il n’y a pas de vente à la ferme.

 

Visite

Des visites peuvent être organisées dans le cadre d’animations sur le Plateau proposées par l’association Terre et Cité.

 

Une ferme céréalière

pour nourrir les gens

Les Fermes du Plateau de Saclay - La Ferme Collay
Les Fermes du Plateau de Saclay - La Ferme Collay
Les Fermes du Plateau de Saclay - La Ferme Collay

Vers les grandes cultures

« Mon grand-père est arrivé en 1962 sur une petite exploitation de 13 ha. Il faisait de la polyculture-élevage, avec, par exemple, de la vente de poulets sur la ferme, des pommes de terre, etc. Ce genre de choses qu’on ne fait plus aujourd’hui. Et puis il cultivait déjà aussi des céréales. Lorsqu’il est parti à la retraite, dans les années 1980, la PAC (Politique Agricole Commune) était en train durcir la réglementation sur les animaux. Les normes devenaient beaucoup plus complexes à gérer alors mon père, qui a pris sa suite, a décidé d’arrêter les animaux. »

La poursuite d’un métier de plus en plus réglementé

« Mon père a agrandi la ferme, faisant monter la surface à une centaine d’hectares, puis à 240 ha. Lorsque j’ai repris, j’ai également apporté 30 ha supplémentaires. Au départ, mon père a essayé de me dissuader de faire ce métier car il trouvait qu’il devenait de plus en plus difficile à cause des diverses réglementations. Et aussi parce qu’il fallait toujours aller de plus en plus loin pour la transformation : les regroupements d’unités de production étaient encouragés. Aujourd’hui, plus rien n’est transformé dans la région. Cela induit une augmentation du transport et des frais de camion… Mais j’aime mon métier, il a du sens, et je souhaite continuer. »

Ma passionJe nourris les gens
Ferme Collay - plan largeFerme Collay - plan large
©Ferme Collay - plan large

J’ai voulu reprendre malgré certaines perspectives négatives car je suis un peu fou ! Plus sérieusement, j’étais passionné depuis tout petit. À deux ans, j’allais faire des tours de tracteurs avec mon grand-père. Ce qui me plaît dans mon métier, c’est aussi de me dire que je nourris les gens. Cela a du sens. Un agriculteur, on en a besoin trois fois par jour. Je voulais aussi être autonome, avoir un peu de temps libre et d’indépendance. C’est l’avantage des céréales par rapport aux animaux, on peut partir en vacances par moments. Et puis, même si ce n’est pas que ça, il y avait l’histoire familiale, ici.

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